Les sept phrases qui freinent votre carrière « je croyais être poli mais je me mettais des barrières »

Débloquez votre potentiel : Dites adieu aux phrases qui freinent votre carrière

Nous sommes tous le fruit de nos pensées et de nos paroles. Parfois, sans nous en rendre compte, nous nous imposons des limites invisibles. Ces phrases qui freinent, si elles sont répétées, peuvent littéralement bloquer notre avancement professionnel. Imaginez un instant : vous avez le potentiel, les compétences, mais une petite voix intérieure, formulée en phrases limitantes, vous empêche de saisir les opportunités. C’est comme si vous étiez dans une course mais que vous aviez des poids aux chevilles. L’objectif est de comprendre comment ces schémas de pensée se forment et surtout, comment s’en libérer pour atteindre vos objectifs.

Quand le doute s’invite dans le discours : L’exemple de Thomas

Prenons l’exemple de Thomas, un jeune professionnel de 28 ans, passionné par son métier de développeur web. Thomas est très compétent, mais il peine à obtenir les promotions qu’il convoite. Lors d’un entretien pour un poste de chef de projet, il confie : « Je pensais que ma candidature était solide, mais j’avais peur de paraître trop ambitieux. » Cette peur s’est traduite par une formulation prudente, presque apologétique, qui a affaibli son message. Il se mettait des phrases qui freinent sans même s’en rendre compte. Il croyait être poli, mais il se mettait des barrières.

Les phrases qui sabotent : Identification et impact

• « Je ne suis pas sûr de pouvoir faire ça. » : Sème le doute avant même d’essayer.
• « C’est peut-être une mauvaise idée, mais… » : Annonce un manque de conviction.
• « J’ai toujours fait comme ça. » : Refuse l’innovation et le changement.
• « Je ne veux pas déranger. » : Évite de demander de l’aide ou de partager une idée.
• « Je n’ai pas assez d’expérience. » : Sous-estime son parcours et ses réalisations.

Ces petites phrases, souvent prononcées avec une intention positive de modestie ou de prudence, finissent par devenir des phrases qui freinent et minent la confiance en soi et la perception de ses propres capacités. C’est un peu comme les quatre pensées qui sabotent votre sérénité ; elles agissent en coulisses.

L’enjeu des mots : Comment ils façonnent notre réalité

Les mots que nous utilisons ont un pouvoir extraordinaire. Ils ne décrivent pas seulement notre réalité, ils la construisent activement. Les phrases qui freinent créent une réalité où nous sommes moins audacieux, moins proactifs, et par conséquent, moins susceptibles de réussir. Elles peuvent nous enfermer dans une forme de situation d’impuissance totale où, comme le souligne un témoignage, « on ne peut plus rien faire pour se protéger ». Sur le plan professionnel, cela se traduit par des opportunités manquées, des promotions qui passent sous le nez, et une stagnation de carrière. C’est un cercle vicieux où le manque d’action nourrit le manque de confiance.

Expertise : Le poids des mots non dits

« Chaque mot prononcé ou pensé façonne nos connexions neuronales et renforce certains schémas comportementaux », explique la psychologue Dr. Sophie Dubois. « Lorsque nous répétons des phrases qui freinent, nous entraînons notre cerveau à anticiper l’échec ou la difficulté, nous rendant moins réceptifs aux solutions. » Des études en psychologie cognitive montrent que la simple reformulation de pensées négatives en termes plus positifs peut avoir un impact significatif sur la performance et le bien-être, un peu comme le souligne Sarah qui dit avoir transformé ses angoisses en sérénité.

Une autre perspective : L’importance de l’auto-compassion

Sarah, 35 ans, raconte une expérience similaire : « J’avais l’habitude de dire ‘Je suis débordée, je n’y arriverai jamais’. C’était une de ces phrases qui freinent qui me plombait le moral avant même que je commence ma journée. » Elle raconte comment, après avoir travaillé sur son discours intérieur, elle a remplacé cette pensée par : « C’est un défi, mais je vais trouver une approche étape par étape ». Cette simple substitution a radicalement changé sa perception et sa capacité à gérer la charge de travail, évitant ainsi le sentiment de brouillard mental que l’on peut ressentir quand « on ne reconnaît plus ses pensées ».

Vers un nouveau langage : Construire son succès

Pour dépasser ces phrases qui freinent, plusieurs stratégies sont possibles. Premièrement, prenez conscience de ces expressions limitantes. Tenez un journal de vos pensées et identifiez les schémas récurrents. Deuxièmement, challengez ces pensées : sont-elles réellement fondées ? Qu’est-ce que vous pourriez dire à la place ? Troisièmement, pratiquez la reformulation positive. Remplacez « Je ne peux pas » par « Comment puis-je ? » ou « Je vais essayer ». Par exemple, au lieu de dire « Je manque d’expérience », dites « J’acquiers rapidement de nouvelles compétences et je suis prêt à apprendre ». Cette transition, bien que subtile, ouvre la porte à des perspectives nouvelles et à un sentiment de contrôle, loin des situations stressantes comme celles décrites lors de une rentrée qui s’annonçait stressante.

Conclusion : Votre carrière, votre discours

Les phrases qui freinent sont des obstacles que vous pouvez surmonter. En identifiant ces limitations verbales et mentales, en les remettant en question et en les remplaçant par un discours plus constructif et confiant, vous ouvrez la voie à un épanouissement professionnel et personnel. Votre capacité à réussir est souvent directement liée à la manière dont vous vous parlez. Alors, commencez dès aujourd’hui à choisir vos mots avec soin. Pour plus d’idées, visitez cabinet-hypnose-peaule.fr.